La
nuit dernière, après une semaine chargée de ces mille riens à mettre
en place et à gérer pour que tout soit fin prêt début Novembre pour la
première d’OpéraBis, dans mon sommeil je me suis posé et j’ai rêvé.
Le temps d’un rêve, j’ai oublié l’enchevètrement des soucis de l’architecte pour finaliser le bâtiment de l’Opéra de Rennes sur Second Life et sur la FrancoGrid, démêlé de touts ces fils et cette connectique qui prend un malin plaisir à ne jamais vouloir s’accorder laissant à Hugobiwan sa chevelure dressée au dessus de sa tête, laissé derrière moi ces centaines de clichés travaillés et retravaillés par Ayiki Naastik et Coulaut pour tisser des textures aussi proches que possible de la vision du réel.
Alors j’ai rêvé dans cet Opéra onirique de ma nuit, au milieu d’un jaillissement de couleurs , j’y étais assis en compagnie de pleins de mes amis attendant fébrilement les 3 coups et l’ouverture du rideau rouge en ce jour du 6 novembre 2010 pour écouter et regarder Rita de Donizetti, non pas comme si… mais « dans la salle en live ».
Schéma onirique de l'Opéra de Rennes vu par Coulaut
Le temps d’un rêve, j’ai oublié l’enchevètrement des soucis de l’architecte pour finaliser le bâtiment de l’Opéra de Rennes sur Second Life et sur la FrancoGrid, démêlé de touts ces fils et cette connectique qui prend un malin plaisir à ne jamais vouloir s’accorder laissant à Hugobiwan sa chevelure dressée au dessus de sa tête, laissé derrière moi ces centaines de clichés travaillés et retravaillés par Ayiki Naastik et Coulaut pour tisser des textures aussi proches que possible de la vision du réel.
Alors j’ai rêvé dans cet Opéra onirique de ma nuit, au milieu d’un jaillissement de couleurs , j’y étais assis en compagnie de pleins de mes amis attendant fébrilement les 3 coups et l’ouverture du rideau rouge en ce jour du 6 novembre 2010 pour écouter et regarder Rita de Donizetti, non pas comme si… mais « dans la salle en live ».

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